Beauté des femmes africaines

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Beauté des femmes africaines

Safari World Image est à l’honneur en Belgique avec un reportage à paraitre bientôt dans le magazine « Femmes d’Aujourd’hui » sur les secrets des femmes africaines. Ce reportage est loin d’être exhaustif tant ces secrets sont nombreux. Nous aurions pu y rajouter par exemple les bijoux en perles des Masai ou les habits colorés des Ndebele. Autant de traditions extraordinaires à découvrir lors de nos voyages en Namibie, en Afrique du Sud, ou au Mozambique ou nos safaris en Tanzanie et au Kenya.

Extrait de ce sujet sur la beauté des femmes Himbas :

Belle comme une vache

Chez les Himbas, peuple de pasteurs semi-nomade de Namibie, la vie quotidienne est rythmée par les soins apportés au troupeau, richesse du village. Le bétail est si important dans leur vie que le plus beau compliment que l’on puisse faire à une femme, c’est de lui murmurer à l’oreille qu’elle ressemble à une vache rousse ! D’ailleurs, la belle teinte acajou dont elles se parent le corps rappelle la robe de leur animal fétiche.

Chaque jour, les rituels de beauté sont immuables. Les femmes prennent de l’hématite, une pierre rouge qu’il faut une fois par mois aller extraire d’une carrière de la région quand on ne l’achète pas. Reste ensuite à la réduire en une poudre la plus fine possible puis à la mélanger à de la matière grasse animale. La pâte ainsi réalisée s’appelle « otjize ». Dans l’intimité de leur case,  les femmes s’enduisent alors de la tête (chevelure comprise) aux pieds de cet onguent qui rend leur peau soyeuse et les protègent des rayons du soleil. Les enfants ont droit au même traitement.

La coquetterie des femmes ne s’arrête pas là. Les lourds bijoux dont elles aiment se parer ont aussi une signification particulière. Lorsqu’il comporte un coquillage, c’est signe de fécondité. Cela indique que la femme qui le porte est en âge de procréer. Parmi les autres caractéristiques de l’ethnie, les coiffures. Chacune signifie quelque chose et porte donc un nom différent.

Avant la puberté, les filles n’ont droit qu’à deux tresses, le nombre augmente la puberté passée. Puis vient l’erembe, la coiffe en peau de chèvre portée par les femmes mariées alors que l’ekori est porté pour le mariage ou les cérémonies.

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